3e - Noviembre en México
sopa de letras
La CATRINA de José Guadalupe Posada
C'est une des légendes mexicaines parmi les plus connues.
Il existe plusieurs versions de cette légende, mais la plus populaire raconte que, au milieu du XVIe siècle les habitants de l'ancienne Tenochtitlán
fermaient portes et fenêtres, et toutes les nuits certains se
réveillaient au son des pleurs d'une femme qui déambulait dans les rues.
Ceux qui s'enquirent de la cause des pleurs durant les nuits de
pleine lune dirent que la lumière leur permettait de voir que les rues
se remplissaient d'un brouillard épais au ras du sol. Ils voyaient aussi
une personne semblable à une femme, vêtue de blanc et le visage
recouvert d'un voile, parcourant les rues à pas lents dans toutes les
directions de la ville. Mais elle s'arrêtait toujours sur la grande
place (Zócalo) pour s'agenouiller et lever son visage vers l'est, puis elle se levait et reprenait sa route. Arrivée sur la rive du lac de Texcoco, elle disparaissait. Peu se risquèrent à s'approcher de la manifestation fantomatique, mais ils apprenaient des révélations effrayantes ou mouraient.
On sait des autres versions que :
1 - La version originale de la légende est d'origine mexica. Cette mystérieuse femme serait la déesse Cihuacoatl, vêtue comme une dame de cour précolombienne, qui criait lors de la Conquête du Mexique : « Oh, mes enfants ! Où pourrais-je vous emporter pour ne pas tous vous perdre ? » en annonce de terribles événements. 2 - Une version indique que la Llorona est l'âme de La Malinche, punie pour avoir trahi les Mexicains durant la Conquête. 3 - Une autre version relate la tragédie d'une femme riche et cupide,
qui perdit ses richesses à son veuvage. Ne supportant pas la misère,
elle noya ses enfants et mourut, mais revint de l'au-delà pour payer ses crimes. 4 - Une autre version encore raconte que c'était une jeune fille
amoureuse morte la veille de ses noces, et qui apportait à son fiancé la
couronne de roses qu'elle n'avait pas pu porter. 5 - Pour d'autres, il s'agissait d'une épouse morte en absence de son mari, revenant pour lui donner un baiser d'adieu. 6 - Une dernière version assure que cette femme fut assassinée par son
mari jaloux et réapparaissait pour déplorer sa mort et protester de son
innocence.
C'est une des légendes mexicaines parmi les plus connues.
Il existe plusieurs versions de cette légende, mais la plus populaire raconte que, au milieu du XVIe siècle les habitants de l'ancienne Tenochtitlán fermaient portes et fenêtres, et toutes les nuits certains se réveillaient au son des pleurs d'une femme qui déambulait dans les rues.
Ceux qui s'enquirent de la cause des pleurs durant les nuits de pleine lune dirent que la lumière leur permettait de voir que les rues se remplissaient d'un brouillard épais au ras du sol. Ils voyaient aussi une personne semblable à une femme, vêtue de blanc et le visage recouvert d'un voile, parcourant les rues à pas lents dans toutes les directions de la ville. Mais elle s'arrêtait toujours sur la grande place (Zócalo) pour s'agenouiller et lever son visage vers l'est, puis elle se levait et reprenait sa route. Arrivée sur la rive du lac de Texcoco, elle disparaissait. Peu se risquèrent à s'approcher de la manifestation fantomatique, mais ils apprenaient des révélations effrayantes ou mouraient.
On sait des autres versions que :
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